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Soirée Botul : Philippe Sollers avec Frédéric Pagès, 17 mai 2018

D 31 mai 2018     A par Albert Gauvin - C 3 messages Version imprimable de cet article Version imprimable    ................... PARTAGER . facebook


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Cabinet de curiosités

par Frédéric Pagès


Le Canard enchainé, 14 mars 2018.
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Sollers, lame à l’oeil

par Philippe Lançon


Charlie hebdo, 21 mars 2018.
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« Mon camarade Ruffin »

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3 Messages

  • DORA | 6 juillet 2018 - 07:03 1

    L’arrière-pays s’organise. Bonnes vacances à tous et à personne !


  • Thelonious | 29 juin 2018 - 17:04 2

    Mais qu’était-il donc arrivé à Roland Jaccard signataire récemment d’un éloge de Sollers sur le site internet de la revue Causeur ? Une soupe miso saturée de soja, des rouleaux de printemps euphorisants lui auraient-ils retourné l’estomac pour qu’il apprécie soudain la littérature sollersienne ? Un éloge tellement surprenant que ni pileface ni le site officiel de Ph. Sollers ne donnent l’article à lire ! Mais " l’infâme J.R" l’homme qui déteste "Femmes" s’est repris et cette fois-ci dans la version papier de la revue il dit vouloir échanger toute l’oeuvre de Sollers contre une phrase de J. P. Georges, le Cioran de Chinon, auteur au demeurant de superbes aphorismes dans "Le Moi Chronique" : ex : la nuit de ma naissance ; si mon ennui pouvait parler, il se tuerait ; oublie demain ; la vie est plus longue que large, ou dans l’éphémère dure toujours : ex : les instants sont reliés les uns aux autres par un fil invisible qu’on appelle l’ennui ; tout se mesure en souffrance. Quand le niveau de souffrance est proche de zéro, ça s’appelle la félicité.
    le déasabusement et l’ennui sont au centre de l’oeuvre, on est en effet bien loin de Sollers !
    Et "l’infâme J.R" qui s’acoquine avec le critique littéraire du Canard, Frédéric Pagès lequel a récemment reçu dans une soirée Botul, Ph. Sollers. Et c’était du grand Sollers, ironique comme jamais face aux questions cauteleuses de son hôte. Son Embarrassez-moi répété tout au long de l’échange résonnera pendant longtemps. Décidément "Jamais mieux" que Sollers !


  • DORA | 2 juin 2018 - 03:30 3

    Et voici Sollers chez les voluptueux Botul, plus lacanien que jamais sous les questions du subtil Pagès. Où l’on découvre l’art de la guérilla selon Thomas Edward Lawrence. Vous usez l’adversaire, vous l’obligez à manger sa soupe avec un couteau ! Oh comme c’est beau ! J’en profite pour vous dire que ce qui arrivera désormais sera toujours inattendu, imprévu, insolite et unique.