Ah l’heureux temps d’autrefois, où le président Mitterrand, me prenant à part dans un clin d’oeil, me disait qu’il était en train de lire Casanova : "Bienvenue au club", lui ai-je soufflé, à l’époque.
Philippe Sollers
Le Journal du mois, JDD du 29 avril 2007
Couverture de l’édition allemande
« Ich habe, sagt Sollers, dieses Buch geschrieben, um meine Zeit zu beschämen ».