François Villon, pour quoi faire ? Pour le trouver « terriblement moderne », parmi les clichés d’appréciation à notre disposition, et parce que sa vie de rapines obscures (plus un meurtre) aide à le ranger dans la catégorie des écrivains maudits, forcément maudits. [Libération->http://www.liberation.fr/livres/2014/11/19/francois-villon-anacoluthes-et-acolytes-dans-la-pleiade_1146339
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