Si de son vivant Kafka n’a eu l’occasion de publier qu’une infime partie de son oeuvre, et aura chargé son exécuteur testamentaire de brûler ses manuscrits à sa mort, l’écrivain praguois aura néanmoins marqué la littérature du XXe siècle par sa noirceur. Pour lui, l’écriture était une nécessité intime, et le gribouillage peut-être de même, si l’on en juge par la variété de croquis que son ami Max Brod aura refusé de livrer aux flammes. actualitte.com
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