Ce qu’il y a d’irritant avec l’« exception culturelle » accordée de nouveau à la France au prix d’un compromis avec l’Union européenne et les États-Unis, c’est qu’elle profite en priorité aux cinéastes nuls, aux écrivains médiocres et aux théâtreux minables. À tous ceux qui s’avancent drapés dans cette toge prestigieuse alors même qu’ils ne méritent pas de la porter. L’édito mobile de Michel Crépu.
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