Sur son vélo Solex, Philippe Sollers, 22 ans, fonce vers le bureau de poste, ce coin d’absolu pour l’amoureux. Dans la poche de cet apollon bordelais, en ce mois d’août 1959 où le soleil est un dard, une lettre pour l’écrivaine Dominique Rolin, plume souveraine, c’est-à-dire sans tabou, belle comme ... (Letemps.ch)
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