De retour à la maison, le vaillant compagnon de Jeanne d’Arc culbute, torture et tue de jeunes garçons par centaines. lepoint.fr.
A propos de Gilles de Rais, Georges Bataille écrivait dans son essai éponyme publié en 1965 : « Gilles de Rais doit sa gloire durable à ses crimes. Mais fut-il, comme on l’affirma, le plus abject des criminels de tous les temps ? En principe, cette affirmation hasardée est peu soutenable. Le crime est le fait de l’espèce humaine, il est même le fait de cette seule espèce, mais il est surtout l’aspect secret, l’aspect impénétrable et dérobé. Le crime se cache, et ce qui nous échappe est le plus affreux. Dans la nuit qu’il propose à notre peur, nous sommes tenus d’imaginer le pire. Le pire est toujours possible ; et même, du crime, le pire est le sens dernier... »
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