« Y a-t-il un moment, dans la carrière du tyran, où il est applaudi de bon coeur ? Au début peut-être, quand on le loue d’avoir chassé le tyran d’avant et que rien n’est encore écrit. La mort, comme celle d’un chien, du colonel Kadhafi nous l’a rendu curieusement proche. » Cf. revuedesdeuxmondes.fr