L’homme est le plus parfait des animaux de proie pour Baudelaire. Trop indulgent encore, le poète de Mon cœur mis à nu. L’homme est le pogromiste à travers les âges pour Quignard. L’homme est celui qui ne renoncera jamais au lynchage ni à la guerre, ses plus puissants narcotiques face à l’angoisse. L’homme est le « tous contre un » dès qu’il est plusieurs. marianne.net.