« La construction est subtile, ne suivant pas toujours la chronologie. On découvre des documents inédits, on en revient aux textes, à la parole d’Aragon lui-même. Surtout, Juquin fait des hypothèses, propose un point de vue. On est loin de ces biographies dites "à l’américaine", où ne manque aucun détail, mais où la réflexion fait défaut. » Josyane Savigneau, Le Monde
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