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L’incroyable collection de Paul G. Allen

Botticelli et Gauguin réimaginent l’icone de la Vierge à l’enfant

D 10 novembre 2022     A par Viktor Kirtov - C 0 messages Version imprimable de cet article Version imprimable    ................... PARTAGER . facebook


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10/11/2022 : AJOUT section « La collection d’art de Paul Allen dépasse le milliard de dollars aux enchères » VOIR ICI


"La montagne Sainte-Victoire" de Paul Cézanne, vers 1888-1890,
huile sur toile, 65.1 x 81 cm, Courtesy of the Paul G. Allen Estate.

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L’événement

Ce sera l’événement de cette fin d’année et peut-être la vente du siècle. Celle qui se tiendra les 9 et 10 novembre prochains, chez Christie’s New York de 150 œuvres d’art dont une quinzaine de tableaux considérés comme des chefs-d’oeuvre et faisant partie de la collection du milliardaire et philanthrope Paul G. Allen, disparu en 2018.

Paul Gardner Allen (1953-2018) est un américain informaticien, chef d’entreprise, homme d’affaires et mécène collectionneur d’art. Pionnier et visionnaire dans le domaine de la micro-informatique, il cofonde en 1975, avec Bill Gates, la société Microsoft. Il est aussi patron actionnaire d’un empire financier de multiples sociétés. En 2011, Paul Allen est considéré comme le 57e homme le plus riche au monde avec une fortune personnelle de 13 milliards de dollars. Le 15 juillet 2009, Paul Allen s’engage officiellement à léguer une partie de sa fortune à des œuvres philanthropiques comme Bill Gates et Warren Buffett, en adhérant au Giving Pledge..
Wikipedia

Une vente intitulée Visionary : The Paul G. Allen Collection et qui excite déjà nombre de collectionneurs dans le monde entier. Des records sont déjà prévus, tant les peintures présentées en exclusivité par Christie’s le 23 septembre dernier, a affolé les compteurs, avec plusieurs d’entre elles qui sont estimées à plus de 100 millions de dollars.

Parmi ces dernières, La Montagne Sainte-Victoire de Paul Cézanne datée entre 1888 et 1890, un Verger avec cyprès de 1888 de Vincent van Gogh, Les Poseuses, Ensemble (Petite version) de Georges Seurat, également de 1888. D’autres sont estimées entre 50 et 90 millions de dollars. C’est le cas de La Forêt de bouleaux de Gustav Klimt, réalisée en 1903, La Maternité de Paul Gauguin (1899), Small False Start de Jasper Johns (peinte en 1960), Large Interior, W11 (d’après Watteau) de Lucian Freud, Waterloo Bridge, soleil voilé de Claude Monet ou encore Le Grand Canal à Venise d’Edouard Manet (tableau daté de 1874). Parmi les autres toiles estimées sous les 30 millions de dollars, on trouve de grands noms tels que Francis Bacon, Georgio O’Keeffe, Jan Brueghel le Jeune, J.M.W. Turner, René Magritte, Paul Signac ou encore une sculpture de Louise Bourgeois. Toutes ces œuvres, estimées à plus d’un milliard de dollars et vendues à but non lucratif selon les dernières volontés de Paul G. Allen, vont faire un petit tour du monde, en étant exposées dans les succursales de Christie’s avant la vente.

Art Critique, 29/09/2022

Comment deux grands tableaux de Botticelli et Gauguin, appartenant tous deux à Paul G. Allen, ont révolutionné un motif iconique

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Les maîtres de la Madone : Botticelli et Gauguin réimaginent une icône
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Inspirés par l’une des images les plus reconnaissables de l’histoire de l’art, ces artistes visionnaires de la collection de Paul G. Allen ont redonné vie à des sujets traditionnels à près de 400 ans d’intervalle.

L’image de la Vierge à l’Enfant, dont les origines remontent à l’Empire romain, a marqué des siècles de création artistique. L’exemple le plus ancien connu se trouve dans la catacombe de Priscilla, un ancien site funéraire de Rome. Les représentations de la Vierge à l’Enfant ont beaucoup évolué, se transformant à travers Byzance et l’Europe médiévale, jusqu’à l’émergence d’une approche plus naturaliste au début de la Renaissance italienne.

Alessandro Filipepi, connu sous le nom de Sandro Botticelli, ainsi que ses contemporains Michel-Ange et Léonard de Vinci, ont révolutionné cette image classique pendant la Renaissance florentine, façonnant à jamais notre vision de l’imagerie biblique.

Par la suite, les représentations de la Vierge à l’Enfant ont été adaptées à des contextes modernes. Au 19e siècle, Paul Gauguin a revisité le sujet à travers une série de tableaux représentant des femmes tahitiennes posées de manière à refléter le motif iconique.


Alessandro Filipepi (1444/5-1510), dit Sandro Botticelli, Madone du Magnificat.
Tempera, huile et or sur panneau. Diamètre : 24¾ in (62,9 cm).. Proposé dans « Visionnary : The Paul G. Allen Collection ». le 9 novembre 2022 chez Christie’s à New York.

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Séparés par près de 400 ans, Botticelli et Gauguin ont chacun revigoré l’archétype de la Vierge à l’Enfant dans leurs tableaux. En examinant des exemples de la collection de Paul G. Allen - qui seront proposés lors d’une vente aux enchères sans précédent chez Christie’s New York le 9 novembre 2022 - nous parvenons à mieux comprendre ces artistes visionnaires, dont les approches de ce sujet intemporel ne sont rien moins que transcendantes.

La Madone revisitée

La célèbre Madone du Magnificat de Botticelli, conservée aux Offices de Florence, témoigne de l’esprit inventif de l’artiste. Peint vers 1483, le tondo - ou tableau rond - était une spécialité particulière de l’artiste, qui savait créer une harmonie visuelle dans le cadre de ses contraintes de composition.

_Fra Filippo Lippi, Vierge et enfant avec deux anges, vers 1455-1466. Les Offices, Florence
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Cette version autographe du tableau des Offices, qui a probablement été peinte vers la fin des années 1480, montre Marie avec l’enfant Jésus sur ses genoux. À gauche, on aperçoit trois anges vêtus de vêtements florentins contemporains. Marie tient une plume d’oie et un livre ouvert devant elle, dont le texte, clairement lisible, est le Cantique de Zacharie de l’Évangile de Luc, y compris le Magnificat, la proclamation de louange de Marie à Dieu.

Devenue une œuvre d’art dévotionnelle célèbre, la Madone du Magnificat s’écarte de la tradition à bien des égards. Botticelli fait ici le lien entre le réalisme visuel privilégié par son mentor Fra Filippo Lippi et la beauté spirituelle du divin. Il nous présente non pas un épisode biblique mais une scène imaginée inspirée par les Écritures.

Imprégnée de profondeur émotionnelle, l’intimité des sujets va au-delà de la représentation iconographique. La Mère et l’Enfant se regardent, tandis que les anges se penchent ensemble avec affection, évoquant une chaleur particulière à Botticelli. Ce mariage d’originalité et de profondeur caractérise les plus belles de ses œuvres.

Quatre siècles plus tard, Gauguin réinterprète le motif lors de son second séjour à Tahiti, où l’artiste restera jusqu’à sa mort en 1903. Maternité (II) (1899) est caractéristique de ses dernières œuvres, dans lesquelles il s’éloigne de la documentation de la vie quotidienne tahitienne pour se tourner vers des représentations plus fantastiques et intemporelles.


Paul Gauguin (1848-1903), Maternité II, 1899. Huile sur toile de jute. 37¼ x 24 in (94,7 x 61 cm). Présenté dans « Visionnary : The Paul G. Allen Collection » le 9 nov.2022 chez Christie’s à New York.
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Étude pour Maternité II 1899 Paul Gauguin
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Ce dessin d’une mère allaitant son enfant est préparatoire à l’une des dernières peintures de Gauguin représentant des femmes tahitiennes, "Maternité (II)". Le quadrillage suggère son utilisation directe pour transférer le dessin de l’esquisse à la toile. L’artiste a achevé ce tableau sur le thème de la maternité et de la fertilité à peu près au moment où sa maîtresse de 17 ans, Pahura, a donné naissance à leur fils en avril 1899.

Crédit : MET

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Dans un exemple antérieur, Ia Orana Maria (1891), aujourd’hui dans la collection du Metropolitan Museum of Art, Gauguin fait directement référence à des thèmes chrétiens. Décrivant le tableau dans une lettre de mars 1892, Gauguin écrit : "Un ange aux ailes jaunes révèle Marie et Jésus, tous deux Tahitiens, à deux Tahitiennes... J’en suis plutôt satisfait".

Gauguin poursuit cette exploration dans Maternité (II). Posées dans un environnement édénique, deux femmes encadrent une mère agenouillée qui allaite son bébé. Les femmes debout tiennent des fruits et des fleurs, clin d’œil à la fertilité féminine et peut-être emblématiques des offrandes faites à la figure de la Madone. Elles regardent vers le spectateur, soulignant notre intrusion dans un moment intime de la maternité. Avec son symbolisme et sa beauté luxuriante, Gauguin livre un hommage à la féminité et à la maternité.

Gauguin a réalisé ce tableau à une époque où peu d’artistes s’intéressaient aux représentations religieuses, se concentrant plutôt sur les réflexions du monde qui les entoure. Dans Maternité (II), Gauguin fusionne ces deux idées, insérant le divin dans ses illustrations de la vie tahitienne. Ce faisant, il a ravivé l’intérêt pour les représentations intimes de la mère et de l’enfant, un motif qui est encore omniprésent aujourd’hui.

Rompre avec la tradition

Depuis l’Antiquité, les interprétations artistiques du Nouveau Testament ont traditionnellement été créées à des fins de dévotion religieuse, en représentant des scènes bibliques dans lesquelles chaque personnage est identifiable au sein du récit. Les interprétations de Botticelli et de Gauguin dépassent ce cadre.

Dans la Madone du Magnificat de Botticelli, Marie semble écrire "Magnificat anima mea Dominum" (Mon âme magnifie le Seigneur). Si le Magnificat était rarement représenté dans l’art, il était encore plus rare de montrer la Vierge inscrivant elle-même le cantique. L’alphabétisation des femmes était rare à l’époque de Botticelli, et il était particulièrement extraordinaire pour les femmes d’écrire, même si elles savaient lire. Dans cette représentation inhabituelle, Botticelli élève Marie grâce à la bénédiction de Dieu.

Cela se reflète également dans l’élégance de ses vêtements et de sa chevelure parsemée d’or. Botticelli rejette le naturalisme de Lippi, qui, selon lui, rendait la Vierge trop commune, et la glorifie au contraire par sa beauté. Il illustre la transformation spirituelle de Marie, qui passe du statut de femme humble à celui d’instrument de Dieu.


Paul Gauguin, Ia Orana Maria (Hail Mary), 1891 . The Metropolitan Museum of Art, New York
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Dans Maternité (II), Gauguin s’écarte également de cette idée, en réimaginant un motif traditionnel par l’abstraction. Entouré par la vivacité des tropiques, Gauguin expérimente la couleur à Tahiti. Il a utilisé des teintes vives et des lignes arabesques pour conférer à ses œuvres un caractère mystérieux et magique.

Avec son ciel jaune strié de nuages roses et un premier plan bleu, rouge vif et vert émeraude, Maternité (II) utilise le potentiel expressif de la couleur pour approfondir la vision mythique de la mère et de l’enfant. Tout comme Botticelli élevait ses personnages par la beauté, Gauguin le fait par le maniement majestueux de la couleur. En utilisant ces teintes vibrantes, l’artiste souligne la monumentalité de la scène qui nous est présentée.

Travaillant à des siècles d’intervalle, ces deux artistes visionnaires ont apporté leur propre sensibilité à un sujet traditionnel, et l’impact de leurs interprétations uniques se fait encore sentir aujourd’hui.

christies.com


La collection d’art de Paul Allen dépasse le record du milliard de dollars aux enchères


Le tableau "The Conversation", de David Hockney, qui fait partie de la collection de Paul Allen, exposé à Los Angeles le 12 octobre 2022. © Frederic J. Brown, AFP
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Plus d’un milliard de dollars ont été déboursés mercredi chez Christie’s, à New York, lors de la vente aux enchères historique de la collection d’art du cofondateur de Microsoft Paul Allen, décédé en 2018. La totalité du montant des ventes - qui doivent continuer jeudi - doit être versée à des œuvres caritatives.

La vente aux enchères chez Christie’s à New York de la collection d’art du cofondateur de Microsoft Paul Allen, décédé en 2018, a dépassé la barre historique du milliard de dollars mercredi 9 novembre, avec une pluie de records pour des œuvres de Van Gogh, Cézanne ou Gauguin.
Cinq peintures sont entrées dans le club fermé des œuvres vendues plus de 100 millions de dollars aux enchères. La plus chère de la soirée, "Les Poseuses, Ensemble (petite version)" (1888) de Georges Seurat, un tableau considéré comme un sommet du pointillisme, a atteint 149,24 millions de dollars, frais compris, a annoncé Christie’s.

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La maison d’enchères avait annoncé que la totalité du montant des ventes serait versée à des œuvres caritatives. Malgré sa brouille avec Bill Gates, son partenaire dans la naissance de Microsoft en 1975, le milliardaire Paul Allen avait signé en 2009 son "Giving Pledge", s’engageant à faire don de la majorité de sa fortune.

Collection Macklowe

Alors que 60 lots seulement sur 150 ont été vendus mercredi - le reste le sera jeudi - la valeur de la collection a déjà dépassé le précédent record de la collection Macklowe, du nom d’un richissime couple new-yorkais, qui a atteint 922 millions de dollars chez la concurrente Sotheby’s au printemps.

Après la peinture de Seurat, une "Montagne Sainte-Victoire" (1888-1890) de Paul Cézanne, annonciatrice du cubisme, a atteint 137,79 millions, un record d’enchères pour le peintre français.

Des records d’enchères ont aussi été battus pour Vincent Van Gogh, dont le "Verger avec cyprès" a été vendu 117,1 millions de dollars, ou pour Paul Gauguin, dont un tableau de la période tahitienne, "Maternité II" (1899), est parti à 105,73 millions de dollars. Une œuvre de Gustav Klimt, "Birch Forest", a atteint 104,5 millions de dollars, là aussi un record d’enchères pour cet artiste.

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VINCENT VAN GOGH, VERGER AVEC CYPRES

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Vincent van Gogh, Verger avec cyprès, 1888
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Vincent van Gogh (1853-1890)
Verger avec cyprès, Avril 1888
huile sur toile
65.2 x 80.2 cm

Arles. Malgré le vent violent qui le perturbe certains jours, Vincent peint avec rage les floraisons printanières.
Fin avril, il loue une petite maison (la maison jaune), place Lamartine, où il installe son atelier. Il prend ses repas au café de la Gare et couche au café de l’Alcazar qu’il peindra plusieurs fois durant son séjour à Arles.

Lettre à Emile Bernard – vers le 12 avril 1888

« Actuellement, je suis pris par les arbres fruitiers en fleur : pêchers roses, poiriers blanc jaune.
Ne suis aucun système de touche, je tape sur la toile à coups irréguliers que je laisse tels quels.
Des empâtements, des endroits de toile pas couverts par-ci, par-là, des coins laissés totalement inachevés,des reprises, des brutalités ; enfin le résultat est, je suis porté à le croire, assez inquiétant et agaçant pour que ça ne fasse pas le bonheur des gens à idées arrêtées d’avance sur la technique.
Voici d’ailleurs un croquis, l’entrée d’un verger de Provence, avec ses clôtures jaunes de roseaux, avec son abri (contre le mistral) de cyprès noirs, avec ses légumes caractéristiques de verts variés : salades jaunes, oignons, ail, poireaux émeraudes. »

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Vincent Van Gogh – Arles, croquis d’un verger bordé de cyprès, 1888
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Lettre à Théo – vers le 13 avril 1888

A mi-avril, tous les vergers sont en fleurs et Vincent passe ses journées dehors. C’est un délire de couleurs.

« Maintenant je te dirai que je travaille aux deux tableaux desquels je voulais faire des répétitions. Le pêcher rose me donne le plus de mal."

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Vincent Van Gogh – Arles, croquis de trois vergers, 1888
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Vincent Van Gogh – Arles, croquis d’un petit poirier en fleur, 1888

[…] J’ai aussi un petit poirier en hauteur, flanqué de deux toiles en largeur. Cela fera six toiles de vergers en fleurs. Je cherche actuellement tous les jours à les achever un peu, et à les faire tenir ensemble. J’ose espérer trois autres, se tenant également, mais ceux-là ne sont encore qu’à l’état d’embryons ou de fœtus. »

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GUSTAV KLIMT, BIRCH FOREST

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Gustav Klimt "Birch Forest", 1903. Huile sur toile, Collection Paul G. Allen
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Gustav Klimt (1862-1918)
Birch Forest
signé ’Gustav Klimt’ (en bas à gauche)
huile sur toile
110 x 110 cm.
Peint en 1903

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Dans la Forêt de bouleaux, Klimt enveloppe le spectateur dans un décor forestier intemporel ; aucun être humain ne vient troubler la paix de la forêt, aucun nuage à la dérive ni aucune averse éphémère ne suggère la temporalité. Le seul indice du passage du temps se trouve dans le tapis de feuilles dorées qui recouvre le sol. Leurs rouges, ambres et ors flamboyants rappellent au spectateur l’arrivée de l’automne et créent un riche tapis qui s’étend presque jusqu’au sommet de la composition. Le lit de feuilles sert de contrepoint aux élégantes lignes verticales des bouleaux, chaque tronc étant soigneusement délimité dans son individualité. Les motifs irréguliers de l’écorce de chaque arbre s’effondrent en deux dimensions, créant un rideau de couleurs aplati, un voile de motifs et de dessins.
Crédit : Portland Art Museum

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Le tableau en situation contemporaine
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Avec ces ventes, et celle d’un portrait de Marilyn Monroe "Shot Sage Blue Marilyn" d’Andy Warhol, parti en mai pour 195 millions de dollars, un record pour une œuvre du XXe siècle, l’année 2022 devrait rester comme l’une des plus chères de l’histoire du marché de l’art.

FRANCE24 avec AFP

A noter que trois des oeuvres les plus valorisées célèbrent la Nature, s’inscrivant ainsi dans le développement de la prise de conscience de l’écologie contemporaine.
L’Art avec ces trois tableaux :
- La montagne Sainte-Victoire de Paul Cézanne
- Le verger avec cyprès de Vincent van Gogh
- La Forêt de bouleaux de Gustav Klimt
aide aussi à nous rappeler que La Nature est belle et qu’il nous faut la protéger.

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