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Zagdanski, Guest, Meyronnis, Retz

D 23 mars 2009     C 0 messages Version imprimable de cette Brève Version imprimable   

Bruxelles, 20 mars 2009
Zagdanski, Guest, Meyronnis, Retz

Sur paroles des jours

Stéphane Zagdanski : Domination et dépossession chez Heidegger et dans la pensée juive

L’ "autre pensée" juive (11’ 25)

Saint Jérôme et l’hébreu (8’ 30)

Soumettre et commander (12’ 35)

Le repos (7’ 25)

La dépossession (17’ 06)

Donner et prendre (12’ 13)

Balancement du jubilée (16’ 24)

*

Gérard Guest [1] : La contrée menacée (l’étendue du désastre)

Paysages de la modernité (15’ 23)

La catastrophe en l’homme (10’ 38)

L’espace chez Heidegger (9’ 35)

Le lieu, la chose, la contrée (14’ 40)

"L’homme habite en poète" (6’ 59)

La croisée des Quatre, la contrée et l’Ereignis (6’ 26 )

Question sur la croisée des Quatre (9’ 13)

Question sur l’Ereignis et le Tao (2’ 25)

Question sur Peter Sloterdijk (3’ 28)

*

François Meyronnis [2] : La passe du vif (la littérature comme résurrection)

L’incommensurable et la Mort (5’ 01) [3]

Le savoir de la mort dans Moby Dick (6’ 59)

La zone du danger (4’ 35)

La dimension de la résurrection (5’ 00)

Le corps écrit (5’ 05)

La résurrection gnostique (2’ 46) [4]

Le suicide (2’ 44)

La Gnose et Melville (3’ 23)

La position luciférienne d’Achab (4’ 52)

Melville et le catholicisme (6’ 26)

*

Valentin Retz [5] : De l’esprit-machine en musique et en art, et surtout dans ta tête

Inversion des profondeurs (10’ 10)

Les trois Schönberg (2’ 06)

Le point traversant et la sérialisation planétaire (4’ 10)

Circonstances sacrées de la musique (8’ 46)

Modernité révolutionnaire de Schönberg (5’ 20)

Schönberg avant et après la guerre (7’ 33)

Schönberg destructeur et créateur (9’ 09)

Hommage à Farid El Atrache (4’ 47)

Vifs remerciements à Mohamed Ben Merieme, David Vanhoolandt, Jonathan Mangez

*

[1L’intégralité du séminaire de Gérard Guest sur paroles des jours.

[2François Meyronnis anime avec Yannick Haenel la revue Ligne de risque. Le dernier numéro.

[3Où François Meyronnis évoque, pour sans démarquer, la phrase célèbre qui conclut Les mots de Sartre : " Tout un homme fait de tous les hommes et qui les vaut tous, et que vaut n’importe qui. ", puis le fameux syllogisme de Socrate — " tous les hommes sont mortels", etc.
On se souvient que dans Femmes, Sollers rapproche, lui aussi, les deux choses dans la même page (Folio, p. 328).

[4Voir mon article : La résurrection d’abord.

[5 Valentin Retz a publié dans la collection L’Infini Grand Art :

« La possibilité de l ?amour est la dernière chose qu ?il nous reste à détruire, a dit Ravèse, et par conséquent la seule que nous devions sauver. » Annihiler la possibilité d ?aimer, détruire à tout jamais le chemin de l ?amour, non pas le rendre impraticable, mais le faire disparaître, l ?effacer absolument, c ?est aujourd ?hui le programme, et c ?est ce qui se confond avec une autre destruction, plus ancienne, plus aboutie : la destruction de l ?art. D ?amour, d ?art et de destruction, c ?est donc de cela que le narrateur et son ami Ravèse s ?entretiennent. Sur la banquette de l ?arrière-salle d ?un vieux café parisien, ils tracent l ?histoire secrète du XXe siècle. En compagnie de Picasso, de Duchamp et des êtres qu ?ils aiment, ils s ?avancent vers une vie qui serait véritablement vivante. Et si le Grand Art, c ?était l ?amour ? »