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Actualité de Marcelin Pleynet

D 31 janvier 2011     C 1 messages Version imprimable de cette Brève Version imprimable   

Rappel : Note du 20 décembre 2010

Trois livres passionnants et un DVD, qui fera date, pour l’année 2010 !

Sollers parle de Marcelin Pleynet avec Dominique Rousset et lit un extrait de Chronique vénitienne (août 2010, 3’38 [1])

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Chronique vénitienne , coll. « L’Infini », Gallimard. Extraits.

Cézanne , coll. « Folio », Gallimard. Extraits.

Entretien avec Marcelin Pleynet.

Jacques Henric : Chance et vérité, art press 367, mai 2010.

Comme la poésie la peinture , Editions du Sandre/Editions Marciana. Le sommaire
Extraits sur pileface L’invitation au voyage.

Situation : Chronique du « Journal ordinaire » , Editions Furstemberg (à paraître).

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Le 25 juin 2010, Marcelin Pleynet parlait de ses livres avec Alain Veinstein :

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Crédit Du jour au lendemain.

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VITA NOVA


Le DVD Manet, <i>Lola de Valence</i>, 1862.

Des "commentaires" en ont été publiés dans le n° 106 de L’infini sous le titre : Situation : chroniques vénitiennes (printemps 2009). Les premières phrases étaient :

« Venise, Vita nova : Tournage, 16 octobre 2006.

En compagnie de Florence Lambert... en préparation du film qu’elle envisage de me consacrer... Je compte Pierre Nivollet, David Grunberg, cameraman directeur de la photographie, et son assistant. »

Lire l’article de V.K. Vita Nova, Un film de Marcelin Pleynet et Florence Lambert.

Le DVD est accompagné de deux textes de Marcelin Pleynet et d’un texte de Florence Lambert.
Il peut être commandé à : Danse et Chorégraphie, 3 rue Cassini 75014

ou à : florencelambert@wanadoo.fr

Son prix est de 29 euros 50 plus 5 euros de frais de transport.

Cher monsieur Gauvin,
J’ai vu le très bel hommage rendu au film Vita Nova sur le site... et nous en sommes très heureux...
Je connaissais le texte de Marcelin Pleynet, Incipit Vita Nova, et cela fait plaisir de le relire à nouveau, comme si l’encre était à peine sèche...

« Tout se joue là dans une dépense dont il ne faudrait pas faire semblant de croire qu’elle ne concerne que le texte d’art, elle danse aujourd’hui dans le savoir et dans la science et dans la politique et elle est sans réserve et sans alternative, on ne se retire pas chez soi pour en écrire, c’est elle qui à tout moment propose : « Dis-moi ce que tu vis je te dirai ce que tu sais », elle est inévitablement fatale à la moindre grimace doctrinale, à la moindre économie de science, à la moindre timidité sexuelle, à la normalité comme à l’anormalité... Mais quels rêves !... » M. Pleynet

N’est-ce pas ?
Bien à vous
Florence

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