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Quand Marie-France Pisier jouait la mère de Philippe Sollers

Un jeune Français

D 17 février 2021     A par Viktor Kirtov - C 2 messages Version imprimable de cet article Version imprimable    ................... PARTAGER . facebook


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L’actualité récente a mis à la une la vie libre des « sœurs Pisier ». Marie-France Pisier était belle et comédienne, elle avait joué la mère de Philippe Sollers en 2000. Nous en avions rendu compte ci-après :

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« Marie-France Pisier disparue tragiquement de la scène, récemment, interprétait le rôle de la mère de Philippe Sollers dans un téléfilm diffusé, en 2000, sur France 3 : Un jeune Français tiré du roman de Sollers : Une Curieuse solitude »

C’est le message que m’adressait Dominique Brouttelande, peu de temps après la disparition de l’actrice à l’élégance naturelle, comme la mère de Philippe Sollers qu’elle interprète.

Mon actualité m’occupait ailleurs. Ce téléfilm mérite pourtant notre attention. Outre que récompensé par le Prix du meilleur téléfilm, distinction accordée par Le premier Festival de la fiction télévisée française de Saint-Tropez (1999), ce document réalisé par Michel Sibra était co-adapté par Philippe Sollers. Adaptation d’un de ses livres et pas n’importe lequel, son premier roman publié en 1958.
Retour sur image et le roman.

Ajout vidéo M.-F. Pisier

Le Téléfilm


Un jeune Français.
ZOOM : cliquer sur l’image.
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Le synopsis

Bordeaux, 1954. La France est à nouveau traumatisée par une guerre, celle d’Indochine, avec le siège de Diên Biên Phu. Pierre et Lucien, les frères Diamant, représentent la bourgeoisie bordelaise, reconnue et respectée. Pierre et Léna ont eu trois enfants : Hélène, Laure et Philippe, le dernier. Un jour viendra où Philippe et son cousin Félix devront suivre la voie qui leur est tracée : succéder à leur père. Mais ce calme n’est qu’apparent... L’inquiétude règne, politiquement, mais aussi économiquement. L’usine Diamant, qui fabrique des gouttières et de la quincaillerie, doit faire face à l’apparition du plastique et une grève du personnel. Le jeune Philippe, élève cultivé se rêve en écrivain. Précoce en matière de jeux sexuels il s’intéresse à l’amour avec Concha, la bonne espagnole, 30 ans, réfugiée politique, anarchiste dans l’âme et amante initiatrice. Son ange, sa boussole sexuelle. [1]

Distribution

Mathieu Simonet ... Philippe
Alain Doutey ... Pierre (le père)
Marie-France Pisier ... Léna (la mère)
Alexia Portal ... Laure (soeur)
Justine Marche ... Hélène (soeur)
Joaquina Belaunde ... Concha (la bonne)
Damien Ferrette ... Jérôme (copain de de Philippe)
Gerald Bousquet ... Lucien (l’oncle paternel)
Sébastien Cotterot ... Félix (cousin germain de Ph.)
Christian Loustau ... Maurice
Toinette Laquière ... Béatrice (comme Marie-Antoinette Lacquière)
Colette Froidefont ... La femme de Lucien
reste de la distribution par ordre alphabétique :
Christian Abart ... Le syndicaliste

Réalisation : Michel Sibra
Scénario de Jacques Forgeas, Philippe Sollers
Produit par MFP / France 3 - 1998
Avec Mathieu Simonet, Alain Doutey, Marie-France Pisier
Outre le Prix du Meilleur Téléfilm du Festival de Saint-Tropez, 1999, Sélection de la Fiction TV française à New-York, 2002.

Une coproduction France 3 et Méditerranée Production.
1ère diffusion : 30 décembre 2000.
A été rediffusé le 3 juin 2010

Critique

Endiguée dans la guerre d’Indochine, la France de 1954 vit dans l’angoisse le siège de Diên Biên Phu. A Bordeaux, les frères Pierre et Lucien Diamant n’entendent rien céder à leurs ouvriers en grève. Jusque-là prospère, l’entreprise familiale, spécialisée dans la production d’articles manufacturés en zinc, subit de plein fouet la concurrence du plastique et connaît de grosses difficultés. Contrairement à son cousin Félix, déjà prêt à prendre ses responsabilités pour éviter la faillite, Philippe ne s’intéresse qu’à l’amour et la poésie, Concha, la femme de chambre de la famille, et Béatrice, la fille du banquier de son père qu’on lui verrait bien épouser, mobilisent ainsi toute sa passion quand il consent à délaisser les auteurs favoris qui nourissent sa passion. Et sa vocation, car, à dix-huit ans, il n’imagine pas de faire autre chose qu’écrire, qu’ »écrire des romans sur les femmes... »... Pour l’heure, alors qu’il devrait préparer son bac, Philippe s’engage avec son copain Jérôme dansles combats des jeunesses communistes, par réaction contre la bourgeoisie. Ce qui lui vaut bientôt quelques heures au poste de police pour peinture nocturne, la considération de ses camarades, dont il a refusé de se désolidariser [2], et un peu de retard à la première épreuve du bac. Reçu avec mention, Philippe reste à Bordeaux pour travailler ses maths. Diên Biên Phu est tombé. Chez Diamant, le travail a repris mais la rune se profile, ce qui n’empêche pas la famille de partir en vacances à Arcachon...

Avec le sixième et le dernier volet des Historiques singulières, s’éclaire la France des années 50, à travers les bandes d’actualité qui situent et ponctuent cette fiction à l’évidence autobiographique. Ce « Jeune Français », assurément pas n’importe lequel puisque fils de la bonne bourgeoisie provinciale et déjà écrivain en herbe, n’est autre en effet que l’éminent[sic] Philippe Sollers (la famille Diamant, s’est substituée à la famille Joyaux), qui cosigne là l’adaptation et les dialogues de son premier ouvrage, Une curieuse solitude, publié en 1958 à 22ans. Pas si loin donc de l’année du bac, des belles envolées lyriques, des premiers émois amoureux, d’une jeunesse qui n’est plus mais dont il se souvient, par scénario et caractères interposés., avec une touchante nostalgie. On n’est jamais mieux servi que par soi-même ! Surtout pour évoquer ses proches, un contexte politico-social agité, des enthousiasmes, des pulsions et des états d’âme qui, non seulement vous ont forgé le caractère, mais ont sans doute constitué la matière première de l’ ?uvre future.

Michel Sibra s’invite, lui, sagement dans cet apprentissage de la vie, en privilégiant, dans une mise en scène académique et des cadres serrés, reconstitution a minima oblige, une jolie galerie de portraits brossés par petites touches, père, mère (excellents Alain Doutey et Marie-France Pisier), s ?urs, oncle, cousin, copains et égéries, consistants faire-valoir d’un personnage principal très bien restitué en archétype de l’éternel romantique, mi incompris, mi tête à claques, par le prometteur Mathieu Simonet.

Bernard Hunin

Fiction et réalité

Les Diamant

(Les Joyaux)

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Marie-France Pisier (Lena)

Léna

(Marcelle Joyaux née Molinié, la mère).

Le personnage de Léna introduit dans "Un jeune Français", apparaît, en fait, dans Portrait du joueur, son roman le plus autobiographique sur son environnement familial.

Nous les Diamant, on a d’abord été détruits par les Allemands, à Ré. Ça gênait, paraît-il, leurs canons surveillant le large. Leurs tourelles pointées sur les marées. Tout y est passé : les maisons, les arbres... Je revois Lena pleurer silencieusement dans les herbes folles, murmurant, comme ça, les dents serrées : "les acacias, les acacias... "

(Portrait du Joueur)

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Alain Douter (Pierre)

Pierre

(Octave Joyaux, le père)

Pierre est le deuxième prénom de l’auteur. C’est aussi, celui de son cousin germain Pierre, avec qui, il est destiné à codiriger l’usine familiale, comme c’est le cas de leurs pères respectifs.

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Mathieu Simonet (Philippe)

Philippe

(Philippe Joyaux alias Philippe Sollers).

Ouvrons Un vrai roman, mémoires, :

Quelqu’un qui dira je plus tard est entré dans le monde humain le samedi 28 novembre 1936, à midi, dans les faubourgs immédiats de Bordeaux, sur la route d’Espagne. Je n’ai aucune raison d’en douter. En tout cas, l’état civil est formel, puisque j’y suis déclaré sous le nom de Philippe, Pierre, Gérard Joyaux, fils d’Octave Joyaux (40 ans) et de Marcelle Joyaux, née Molinié (30 ans), troisième enfant, donc, après deux filles, Clothilde et Anne-Marie, dite Annie (5 ans et 3 ans). Baptisé catholique à l’église du coin.

[...]

Roman familial plus qu’étrange : deux frères, ayant épousé deux soeurs, vivent dans deux maisons jointes et symétriques, chaque pièce de l’une étant l’exacte réplique de celle de l’autre, D’un côté « nous », de l’autre Maurice, Laure et Pierre (mon « parrain », dix ans de plus que moi). Il y a donc, d’emblée, un Pierre Joyaux et un Philippe Joyaux. Cela fait deux P. J., et je mettrai longtemps à imposer le h pour écrire l’abréviation de mon prénom, Ph. Joyaux et pas P. Joyaux. Je réussirai même à obtenir un tampon rouge pour bien souligner la séparation. Aujourd’hui encore, où je m’appelle le plus souvent Sollers, l’inscription P. S., dans les signatures ou les interviews, me dérange (d’autant plus que cela fait « Post-Scriptum » ou « Parti Socialiste »)

[...]

Les Frères Joyaux possédaient une assez importante usine de fabrication de produits ménagers, tôle, aluminium, émaillerie, casseroles, plats, brocs, marmites, lessiveuses, poubelles, étiquettes à lettres bleues ornées des trois croissants traditionnels de la ville. L’entreprise offrait même des buvards à lettres rouges, je les ai encore. Mais un Joyaux dans les poubelles, est-ce bien raisonnable ? Redoublement des sarcasmes, à n’en plus finir. Qu’on ne croie pas, cependant, que j’aie changé de nom en publiant par timidité ou servilité sociale. Quand mon premier petit livre est paru, et surtout, presque simultanément, le second (Une curieuse solitude), j’étais encore mineur (moins de 21 ans, en ce temps-là, et ma famille trouvait ce roman scandaleux. Donc pseudo,Sollers, personnage imaginaire que je m’étais créé vers 15 ou 16 ans, un peu sur le modèle du Monsieur Teste de Valéry (« la bêtise n’est pas mon fort », etc.). Ce personnage était secret, voué à la pensée et à la méditation, très influencé par Stendhal, mais venu tout droit de l’Odyssée, comme son nom, traduit en latin, le laisse supposer : un type [3] aux mille tours et détours, plein de subtilités et de ruses, et qui veut avant tout vivre sa vie libre et se retrouver chez lui. J’ai été plutôt très bon en latin, le dictionnaire m’a donné mon nom d’écrivain.

Concha et Une curieuse solitude

Concha

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Joaquina Belaunde (Concha)

Contrairement au téléfilm qui restitue le milieu familial et politico-social de l’époque, Concha est, en fait, la véritable et seule héroïne du livre « Une curieuse solitude ».

Les personnages de Léna, la mère et de Pierre, le père, ne sont pas présents dans le roman [On les devine en filigrane, mais ils ne sont pas là], pas plus que ses soeurs, oncle, tante, cousin, copains... Seul un autre personnage fait contrepoint à celui de Concha, la copine Béatrice de l’âge et du même milieu que le narrateur. Faire valoir de Concha - la féminité mâture et assumée.
Concha, dans le téléfilm et le roman, se prénommait en réalité Eugenia.

« Son visage, alors, se dissolvait, elle rentrait dan sa coquille, se metia en su concha, comme je lui disais dans un calembour préparé avec soin »
Une curieuse solitude, Folio, p. 21.

La symbolique de la coquille

La coquille qui, par son dessin et sa profondeur rappelle l’organe sexuel féminin ; elle évoque les eaux où elle se forme et où naît parfois une perle. Symbole fécondant, symbole de l’Amour confirmés depuis l’antiquité par le mythe de la naissance de Vénus. D’ailleurs, en Espagne, Concha n’est autre que le diminutif de Conception ! Prénom de l’héroïne à forte connotation sexuée, donc, choisi avec soin par l’auteur. Dans la réalité Concha se nommait Eugenia.

*

Une curieuse solitude

Ecrit de juillet à décembre 1957, dans la propriété familiale du Martray (île de Ré) et à Paris, peut-on lire à la fin du roman, Philippe Sollers a tout juste 21 ans quand il le termine. De nature autobiographique, c’est le roman d’une éducation sentimentale entre le narrateur, prénommé Philippe comme l’auteur, 17 ans, dans le roman (1954) et Concha, 30 ans, réfugiée espagnole entre au service de la famille comme employée de maison en langage d’aujourd’hui. Le temps de l’action : un été. Le jeune Philippe regagnera le collège en octobre. Un peu plus tard, Concha quittera son emploi. Epilogue : Philippe, devenu étudiant à Paris, retrouvera la trace de Concha...

Extrait

Les réticences n’auraient pu venir que de moi. Concha était assez intelligente pour ne pas se formaliser d’une situation devant laquelle d’autres auraient reculé. Qu’est-ce qui aurait pu l’arrêter ? La différence d’âge ? Il était évident qu’elle l’envisageait déjà comme un délicieux remords. La crainte du scandale ? Elle était trop nonchalante pour s’en soucier. Par contre, ce passé que j’avais cru deviner, un soir, dans sa manière de fumer, devait la pousser à cette faiblesse - si l’on peut supporter ce mot.

Pour moi, uniquement occupé de connaître une expérience si désirée, je n’étais guère attentif aux particularités de Concha. Ce n’est qu’après que l’on découvre les femmes car, dans le désir, c’est toujours soi qu’on écoute.

En outre, ce n’est que plus tard que je compris que la partie était gagnée d’avance. Sans doute, si je l’avais su au moment de la jouer, j’aurais eu peur de réussir. Mais pouvais-je deviner que tout commence - ou finit - de l’autre côté du plaisir ? Je m’y portais avec la grossièreté, l’impulsivité de l’ignorance. J’avais d’abord imaginé que coucher avec une femme c’était surtout acquérir la possibilité de s’en vanter. Mais j’allais découvrir que c’est être pris au piège, tant on avait vécu sur des apparences que cet acte rend à leur néant.

Une curieuse solitude, Folio, p.29.

Roman, un temps, désavoué

Philippe Sollers élimina, un temps, de sa bibliographie Une curieuse solitude, son premier roman à l’écriture classique « Ce petit bouquin est un plagiat. Même le titre n’est pas de moi. » disait-il. C’était au temps de sa période expérimentale celle de l’écriture et l’expérience des limites, celle de la recherche de structures complexes (Nombres), celle de l’absence de ponctuation, la musique du texte oralisé pour seul guide, cette période qui s’étendit jusqu’à Femmes (1983), ou l’auteur y met fin pour revenir à une écriture plus classique. Une curieuse solitude pouvait réapparaître dans sa bibliographie.

Quelques liens

Un tout jeune écrivain par Pauline Réage.

sur Concha (1)

sur Concha (2)

Sur les Diamant (Gérard de Cortanze dans Philippe Sollers, Vérités et légendes Editions du Chêne, 2001

Sur Une curieuse solitude


A 25 ANS, Mathieu Simonet sait déjà ce qu’il veut. Il a beau être le fils de Jacques Perrin, le producteur, réalisateur et acteur, il n’est pas question, pour lui, de porter le nom de Perrin. Un pseudonyme que son père a pris voilà longtemps en entrant au Conservatoire d’art dramatique de Paris : « J’ai décidé de me nommer Simonet qui est le véritable patronyme de mon père. Je veux qu’on me prenne très vite pour ce que je suis et pas pour celui qui est le fils de », lance-t-il d’emblée. Ce jeune acteur s’était révélé en 1998 dans « la Poursuite du vent », téléfilm en trois parties diffusé sur France 2, dans lequel il jouait René, un jeune garçon incapable de vivre dans son temps.

Avec « Un jeune Français », un téléfilm inédit de Michel Sibra (France 3, 20 h 45), il décroche son premier grand rôle à la télévision. « Quand je me suis présenté au casting, explique le jeune comédien né à Paris, je n’avais aucune idée du contenu de cette fiction. C’est après avoir été engagé que j’ai découvert le scénario, cosigné par Philippe Sollers. L’écrivain y raconte sa jeunesse passée près de Bordeaux, à travers l’histoire de Philippe, un jeune homme qui refuse de prendre la succession de son père à la tête de l’usine familiale pour se consacrer à la littérature. »

« Je voulais être réalisateur » La télévision et le cinéma, Mathieu Simonet a toujours baigné dedans : « Dès l’âge de 10 ans, mon père m’emmenait régulièrement sur les tournages de ses films en France et à l’étranger. Je me souviens notamment de celui des 40es rugissants, réalisé en 1982 par Christian de Chalonge. » C’est d’ailleurs en traînant sur les plateaux qu’il a découvert sa vocation pour ce milieu. Après avoir décroché un bac D (biologie et mathématiques), en 1993, Mathieu Simonet s’est inscrit pendant quatre ans dans un cours d’art dramatique parisien : « A l’origine, ce n’était pas pour jouer la comédie. Mais pour savoir comment diriger des acteurs. Je voulais être réalisateur. Et puis, j’ai eu le déclic. C’est formidable de vivre des dizaines de vies par procuration. » Heureux d’avoir décroché un premier grand rôle, il s’est empressé de montrer le résultat à son père : « Il m’a trouvé très convaincant », explique-t-il fièrement. Mais déjà le jeune homme pense à l’avenir. En mars prochain, il incarnera pour le cinéma Jean-Sébastien Bach dans le nouveau film éponyme de Jean-Louis Guillermou. Une nouvelle aventure qu’il attend avec impatience.

Patrice Laurent
Le Parisien

Flash-back sur la carrière de Marie-France Pisier

26/04/2011


[1C’est un ange qui figure sur la couverture de son roman en version Folio (Le Greco, Le Martyr de Saint Maurice, détail) - Le sexe, comme boussole, une image qu’il utilisera plus tard)

[2épisode jamais cité dans les éléments biographiques, à ma connaissance. Semble avoir été ajouté pour la scénarisation. Note pileface

[3Ulysse, note pileface pour les Nuls du XXIè siècle ... qui ont acquis d’autres cultures que la Classique - une note que ne se permettrait pas Ph. S., lequel pratique le latin, a lu et relu l’Odyssée mille fois. Un peu moins, en fait, il mémorise bien.

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